[Noires de Pau] La Dépèche du midi "britannise" Lalie Walker

La Dépèche du midi du 29 novembre revient sur le festival "Noires de Pau" du week end précédent dont Lalie Walker fut la marraine et la préfacière du recueil de textes des  "Jeunes plumes" ayant gagné le célèbre concours de nouvelles organisé par l'association. Il y est question de "l'écrivain britannique" bien connue.
Ta Tata est morte de rire : encore des infos recoupées. Walker, ça fait whisky, ça fait anglais, alors forcément... Heureusement que l'auteure de thrillers ne s'appelle pas Laléon Walkerar ce que l'aurait immédiatement propulsée citoyenne guatémaltèque carburant au mezcal ou encore Wxalxkerx (prononcez Wtchaltchkertch), ce qui en aurait fait un liquide d'origine basque, type pacharan (alcool de prunelles sauvages), susceptible de se voir décerner le label vert "CEL" ("Certifié Economie Locale") qu'ils affichaient tous durant le salon. 
Quoiqu'il en soit, bravo aux Noires de Pau pour leur travail autour de la nouvelle et félicitations aux gagnantes et gagnants du concours.
(Cliquez sur l'article pour le lire. Ci-dessous Lucie Abadia, présidente de l'association, et Lalie Walker lors de la remise des prix du concours de nouvelles).


[Festival de Lamballe] Le film punitif passé par Pouy lors de son quizz du samedi...


Le samedi soir Jean-Bernard Pouy et Jean-Hugues Oppel (voir photo panoramique, cliquez dessus pour l'avoir en grand format) ont "amusé" la galerie avec un quizz ferroviaire. Lorsque l'assistance ne savait pas répondre, Jibé Pouy, toujours aussi sadique (cet homme a un mauvais fond, en fait), passait pour punition un extrait de son "film de train", expérimental (il n'a pas fait des études sur le cinéma underground pour rien...). Fallait s'accrocher au wagon, c'était du hardcore... Voyez plutôt, c'est passionnant ! (Que font les services sociaux ? On ne va pas continuer à le laisser sévir, non ?) :








[Reçu ça] Caryl Ferey s'implique

Caryl Ferey, qui a reçu le trophée cette année, était présent à l'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE EXTRAORDINAIRE DE 813, SAMEDI 22 ! Un évènement immortalisé, c'est le cas de le dire, par ce document inouï. Longue vie à Caryl !

[Dossier Apéricube] Pouy existe aussi en goût bleu-noix !

Pouy est vraiment un écrivain français comblé : il vient de découvrir, après le goût jambon et le goût chèvre-romarin, qu'il existe en goût bleu-noix ! Et, comble de bonheur, c'est lui-même qui a découvert cela lors de la dernière apéro de Terminus Polar ! Il a envoyé la preuve à ta Tata, ci-dessous. Moralité : Pouy gagne un livre de lui, dédicacé par lui-même (ce qui lui donnera enfin l'occasion de se relire ! Pas belle la vie ?).
Cette histoire d'Apéricube devient palpitante. Bien malgré elle ta Tata aurait lancé un engouement pour le fromage apéro dans le milieu considérable des amateurs de polars et des fans de Pouy, se traduisant par une hausse soudaine des ventes. On raconte, du coup, que c'est le branle-bas de combat aux services marketing de La Vache qui rit et que les veaux et les boeufs qui hantent les couloirs se seraient fait taper sur les doigts pour ne pas avoir été réactifs devant les tendances montantes, de merder sur la veille technologique, de ne jamais anticiper. Lundi, il y aurait eu un comité de crise au département Recherche et Développement qui serait désormais chargé "d'aller au-delà de l'attrait des questions sur Pouy" et  profiter de l'aubaine pour "pourquoi pas créer un nouveau goût, carrément polar, plus farouche?". L'idée qui aurait été émise consisterait à créer un "authentique goût Pouy" mêlant des arômes de cigarettes, d'huîtres, d'andouille de Guéméné, avec une touche de bordeaux (un Bourdieu graves aurait été évoqué). Un moment, le labo de R&D aurait été tenté de se lancer dans un goût "Pouy-truffe", mais cela aurait été écarté tant parce que cela ne correspondrait pas à l'idéologie de saboteur de Fauchon de l'auteur de La Récup' qu'au fait que "des truffes chez les écrivains polars, il y en a beaucoup... mais le public n'est peut-être pas psychologiquement prêt à apprendre leurs noms".
Quoiqu'il en soit, on peut se réjouir de cette affaire qui prouve -notons qu'une fois de plus Pouy est à l'origine du phénomène- que le polar français peut irriguer dans d'autres domaines de la vie quotidienne : Jibé aurait été approché d'ores et déjà par un fabricant de shampoing pour une marque de gel déstructurant effet explosé et "Katener", une crème de jour protectrice pour usagers SNCF.

Lamballe : Guérif et Reboux ont un super pouvoir d'ubiquité


Bel article de Ouest-France sur le festival du week-end dernier. On y voit notamment Reboux et Guérif dédicacer des livres... Problème : ils n'étaient pas là. Méfiez-vous la prochaine fois que Ouest-France diffuse un portrait robot ou la photographie d'un enfant disparu, sinon d'un criminel recherché... 
Reboux qui rend déjà chèvres les flics avec son agitation autour du délit d'outrage va se mettre à carrément les faire flipper s'il apparaît partout comme ça comme Droopy. En tout cas si c'est vrai, ce super pouvoir d'ubiquité, j'aurais par ailleurs tellement aimé voir Guérif avec sa cape et ses collants...

(C'est bien l'édition du dimanche : pour illustrer, ils auraient pu faire une photo la veille alors que le festival avait commencé, non ? Si le supplément est imprimé bien avant, c'est risqué tout de même... Un coup à se faire foutre de soi sur internette, ça...) 

Lamballe : ta Tata va bientôt tout raconter

Dans les jours qui viennent, ta Tata va tout balancer sur le festival de Lamballe des 15 et 16 novembre derniers... Reste branché(e) mon, petit ! Tu vas tout savoir !
Premier ragot : malgré la présence de ce panneau apposé sur l'estrade de la salle municipale de Lamballe, ce sont près d'une centaine de chaises contenant chacune un spectateur qui ont été posées devant les bouches plutôt très bavardes de Pouy et Oppel lors de la soirée Quizz (sur laquelle ta Tata reviendra, tu penses bien).

[Reçu ça] Un spam en faveur d'Eric Yung

La photo était accompagnée de ce texte : 
MIEUX QU'OBAMA !
ERIC VA CASSER LA BARRACK !
ERIC YUNG PRÉSIDENT DE 813 !

[Reçu ça] La pétrification de Ste Jeanne

Après la courageuse diatribe de Jeanne Guyon à l’AG de 813, on a longtemps cru qu’elle s’écroulerait, en pleurs, dans les bras de JL Touchant ou, mieux, d’Hervé Delouche. Mais elle a tenu bon. Ce n’est qu’après la lecture du message de Caryl Ferey, remerciant les adhérents de lui avoir donné un trophée et les assurant de son amour lointain et mouillé, qu’elle s’est enfin écroulée, blanche comme neige, pétrifiée par l’émotion.

Dossier apéricube : François Braud apporte deux nouvelles pièces


François Braud, spécialiste tant du polar que de l'apéro, vient de découvrir un nouveau goût à Pouy, déjà repéré en goût jambon : le chèvre et romarin. Mais c'est par ailleurs un beau doublé qu'il réalise car il a trouvé un Michael Connelly  goût tomates à la provençale ! Félicitations ! 
Et vous qui allez-vous trouver ? Quel goût va avoir Pouy demain ? (on raconte que l'intéressé lui-même s'est trouvé un nouveau goût lors de l'apéro à la librairie Terminus Polar : ta Tata enquête). Et surtout quel autre auteur français a pu atteindre une telle consécration ? (et de quel goût peut-il être ?) 

Raynal et Pouy victimes d'un odieux trucage

Une photographie prise par Ann à Terminus polar le 12 novembre dernier a fait l'objet d'un faux grossier. Heureusement que ta Tata a dans son grenier ses collections de revues de cinéma... Ca lui disait bien quelque chose, cette couverture...  Voilà, la vérité est rétablie ! 

Le prix 813 responsable de débordements sur la chaussée !

On peut s'interroger en opinant du menton gravement sur la responsabilité de l'association 813 quant au maintien de la tenue et de la dignité attendues dans le milieu polar. En attribuant avec une extrême générosité une bouteille de champagne ENTIERE au lauréat chaque année (décorée d'une étiquette créée par un Romain Slocombe inspiré), n'est-ce pas contribuer par excès de générosité (malgré la crise des subprimes et l'effondrement des fonds communs de placement, il semblerait que 813 reste toujours aussi généreuse) d'une certaine façon à l'encouragement de comportement inciviques, tels qu'on le constate, navrés, ci-dessous  ? :

Ta Tata en veut pour témoins ces images : Caryl Ferey qui vient de dédicacer avec Jean-Bernard Pouy et Patrick Raynal ce 12 novembre 2008 à la librairie Terminus Polar déborde gravement sur la chaussée en compagnie de la charmante libraire Caroline et du Jibé. Lequel, on le voit, en repart même en Vélib (-ertaire ?). 
Pouy en soutien aux actions de Delanoé : oui, aux Etats-Unis il en faudrait moins que ça pour que 813 soit assignée dans une procédure en dommages pour plusieurs millions de dollars... Pas prudent pour la tréso, ça...

Qu'est-ce que la postérité, au fond aujourd'hui ?

"Mais où sont les neiges d'antan ?" chantait Villon. Alors qu'ils sont nombreux encore, dans le monde des écrivants, à courir les honneurs, les vanités de postérités résistibles et oubliables à travers de futiles hochets académiques, des médailles cacaotées, des prix de gendelettres d'une désuétude finie, il conviendrait sans doute de s'interroger sur la postérité en ce qu'elle a de synchrone ou non avec son époque. Bref, quels sont les vrais signes de la reconnaissance aujourd'hui, octroyés par une société de culture massifiée apéritive, consummériste frénétique et désincarnée, vide de sens, dans une fuite ontologique toujours plus apéritive et festive ?
La gloire, la vraie, c'est peut-être aujourd'hui ce qui vient d'arriver à Jean-Bernard Pouy : l'apéricube goût jambon, rituel des soirées entre lecteurs de Télérama et autres happy few culturels qui se posent des colles pour oublier l'ennui et la vacuité de leur propre conversation. 
Aujourd'hui le cube de la Vache qui rit, demain les camemberts du Trivial Poursuite ? 
(cliquez sur les images pour lire en grand format). 


Qui demain sera goût saumon, olive, paprika ? Qui sera goût nature ? Quel autre auteur atteindra cette postérité de son vivant ? Mesdames et messieurs les écrivants, prenez-en de la cacahouette. Le mâle dominant dans le pré carré de la littérature prête à tartiner, c'est Pouy. Faites-mieux : du moins essayez.

Tata rapporteuse offrira un livre dédicacé par Pouy à qui pourra prouver qu'il a trouvé un autre goût jambon - goût Poulpe. Ecrivez-lui si vous êtes l'heureux possesseur d'une telle pièce: